Billie

Pour mon assemblage, je voulais démontrer ce que j'avais appris ce trimestre.  Au début de ma carrière d'enseignante, j'étais plutôt douée pour la technologie, mais après avoir enseigné au lycée pendant près de 15 ans et avoir fondé une famille, j'étais tombée au milieu du peloton.  Je savais que la technologie d'apprentissage et d'enseignement des langues évoluait, mais je n'avais aucune idée de la vitesse à laquelle elle changeait.  Je pensais que la technologie d'enseignement et d'apprentissage des langues était unilatérale, c'est-à-dire qu'une voix enregistrée disait à l'apprenant comment prononcer un mot ou une phrase, puis l'apprenant le répétait sans aucun retour.  J'ai découvert qu'il existait des programmes de réalité virtuelle qui simulent des expériences réelles pour les apprenants en langues et leur offrent un retour en temps réel.  Je me demande maintenant quelles technologies je pourrais utiliser pour aider mes étudiants en ALL, même avec les contraintes budgétaires qui affectent l'éducation publique en Alberta.  Je suis également très déçue par le développement professionnel offert par mon district, car ils proposent toujours des sessions sur Google Classroom et, bien que Google Classroom soit un outil formidable, il ne va pas engager activement les étudiants dans l'apprentissage des langues. 
Je voulais également discuter des options limitées actuellement offertes par les programmes d'apprentissage des langues, ce qui me semble peu clairvoyant.  De nombreuses recherches montrent qu'il faut connaître la langue pour s'immerger complètement dans cette culture, ce qui signifie que si les langues meurent, les cultures finiront aussi par mourir.  En privilégiant les langues dominantes, ces programmes ne respectent pas le rôle que jouent les langues patrimoniales dans le développement des enfants et des familles. 

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